Le nouveau tricot est arrivé, plus libre que jamais.

Libéré des clichés, arraché à son canapé – feu de cheminée, il s’emporte, se range dans un sac voyage léger, il s’entreprend en extérieur, à la plage, dans le métro, à toute heure.

Libéré du temps de la mode, de son rythme effréné, il offre un moment suspendu, une pause à soi méritée, il invite à ralentir, à revenir au toucher, à la fluidité du geste.

Libéré du calendrier saisonnier, pratiqué et porté toute l’année, il s’évade du vestiaire d’hiver, dépasse le stade du bonnet, il explore l’été, revient au sportswear, plonge à l’eau la tête la première.

Libéré de toute forme de convention, absolument décomplexé, il prône le confort, le mouvement, la singularité, il devient un jeu, une invitation à expérimenter, un moyen de s’exprimer.